• Votre enfant arrive en 6ème et vous ne connaissez pas le fonctionnement et l'intérêt des fédérations de parents d'élèves, vous avez des enfants en 5 ème, 4 ème et 3 ème et souhaitez vous impliquer ou simplement avoir de l'aide, des conseils dans vos démarches.

    La P.E.E.P. signifie Fédération des Parents d'Eléve de l'Enseignement Public

    Être dans un mouvement national ne veut pas dire être soumis, nous avons au sein de la P.E.E.P. notre propre autonomie départementale et nous pouvons ainsi rencontrer l'inspection académique et le conseil général responsables des collèges.

    Nous participons à toutes les décisions qui conditionnent la vie quotidienne de vos enfants :

    - Le projet pédagogique;

    - Le budget;

    - Le règlement intérieur de l'établissement;

    Pour le département :

    - Les commissions d'appels;

    - Les demandes de dérogations....

    Nous affirmons notre indépendance politique, syndicale et religieuse.

     

    Grâce aux parents que vous élirez le 12 OCTOBRE prochain vous donnerez votre avis.

    Nous organisons une réunion le LUNDI 17 SEPTEMBRE à partir de 18h au collège Jean-Jaurès pour discuter et nous présenter plus longuement.

    Une association de parents, est ce que les parents en font.

    Nous souhaitons un lieu de dialogue d'échange et d'entraide.

     

     

    Représentantes Jean Jaurès      Nathalie FOLLIOT – nathalie.folliot@philippe-folliot.com  

    Caroline CAMBIER-DEBOURGE - carryl.caro@free.fr

     


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  • Définition

    Exclamation destinée à exprimer la pénibilité d'une tâche que l'on rechigne à accomplir.

     

    Corvées seigneuriales

    Au XVe siècle, les légistes tentèrent de limiter les travaux serviles en fixant le nombre des corvées à douze par an. De plus, il ne pouvait y en avoir plus de trois par mois et elles devaient être espacées dans le temps. Le seigneur ne pouvait plus, comme par le passé, imposer des travaux périlleux ou malhonnêtes. Pendant leur "temps de service" au seigneur, les corvéables étaient en plus tenus de subvenir à leurs propres besoins de nourriture, ainsi qu'à celui des animaux utilisés. Il n'en coûtait donc pas un sou au seigneur puisque aucune indemnité n'était due.

     

    Corvées royales

    Aux impôts qui écrasaient les corvéables vinrent s'ajouter, au XVIIIe siècle, les corvées royales. Routes et chemins devaient être crées et entretenus par le peuple pour la grandeur du pays et la fierté du souverain. Une fois de plus, cela se faisait sous la contrainte et sans compensation. Cette pratique n'existait pas seulement en France; ainsi, en 1737, en Lorraine, qui n'était pas encore Française, la remarquable route de Toul à Nancy fut l'oeuvre de corvéables.

    Devant l'importance de cette contribution gratuite, de nombreuses populations se soulevèrent et, sous Louis XVI, l'insurrection gronda en Bretagne où plusieurs château furent brûlés. Il fallut attendre 1776 pour que Turgot, devenu contrôleur général des Finances deux ans auparavant, abolisse le travail gratuit. Cette fois, ce furent les nobles et les ecclésiastiques qui protestèrent devant cette atteinte à leurs privilèges. Louis XVI rétablit les corvées honteuses et il fallut attendre 1793 pour que la convention y mette un terme définitif.

     

    A la fin du servage

    En France, lorsque les serfs recouvrèrent leur liberté au XVIIIe siècle, ils furent cependant astreints à accomplir un certain nombre de tâches pour le service du seigneur, et cela sans rémunération aucune. C'était en quelque sorte le prix de leur liberté et aussi la condition exigée pour acquérir un lopin de terre.

     

    La corvée militaire

    Pendant le service militaire, tous les appelés ont eu leur lot de corvées : éplucher les pommes de terre pour la troupe, récurer les toilettes, etc. Certes les tâches n'étaient pas valorisantes, mais elles étaient habituellement acceptés parce que partagées par tous... et qu'elles ne duraient que quelques mois.

     

     


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  • La rentrée approche pas de panique, je vous donne ici les jours et heures de rentrée. Pour plus d'info, vous trouverez le lien des 2 établissements.

    Pour la primaire :

    Mardi 4 septembre à 8h30

    Ecole primaire de l'albinque, le blog du directeur

     

    Pour le collège : 

    les 6émes, mardi 4 septembre à 9h PAS DE COURS LE MERCREDI

    Les ULIS, mardi à 14h

    les 5/ 4/ 3émes, mercredi 5 septembre à 8h

    Collège Jean-Jaurés

     


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  •  

    http://www.midipyrenees.fr/local/cache-gd2/82a2a6ca4a0d61df92a9af61fe962ad3.jpg 

    Image site midi-pyrénées.fr

     

     

     

    Il est temps de penser à vos livres pour la rentrée prochaine, mais surtout de penser à la carte jeune midi-pyrénées, vous donnant droit à une somme d'argent pour l'achat de vos livres.

    Mais également pour une activitée sportive;

    l'achat d'un ordinateur avec ordilib';

    enfin être au courant des bons plans.

     

    Connectez vous Directement au site en cliquant ici


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  • Certains collèges et lycées, ne récupéreront pas les 4 mercredis cités dans mon articles précédant tout au moins, pour Castres.

    Seuls les mercredis 2 et 16 mai seront récupérés.

    Les cours du lundi 30 avril après-midi seront récupérés le mercredi 2 mai après midi.

    Les cours du vendredi 18 mai matin seront récupérés le mercredi 16 mai après-midi.


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  • Définition

    Avoir une vie désordonnée, agitée, une vie de plaisirs et de débauche

     

    Vocabulaire

    Nulle chaise ne possède aujourd'hui de bâton, et pour comprendre l'origine de l'expression, il importe de préciser qu'il s'agit ici d'une chaise à porteurs.

     

    Transport, mais pas confort

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les personnes de qualité se faisaient transporter dans des chaises recouverte d'une sorte de dais (baldaquin ou tenture fixé au-dessus de la chaise) ou même complètement fermées. Elles étaient ainsi protégées des intempéries et des regards indiscrets. La chaise était munie de deux barres ou bâtons de bois glissés latéralement de chaque côté de l'habitacle, leurs extrémités étant saisies par les mains des porteurs. La course était sûrement assez chaotique et la personne transportée quelque peu ballottée. Lorsque l'équipage était parvenu à destination, les porteurs retiraient prestement les deux bâtons de leurs guides et les reposaient, parfois sans grand soin, avant d'ouvrir la porte au passager.

    Ces bâtons ayant une "existence" très peu reposante, cela explique l'expression dans laquelle l'idée d'"activité excessive" a peu à peu fait place à l'idée de "vie désordonnée".

    La "vie" des bâtons était alors assimilée à celle des porteurs, toujours en déplacement, ou à attendre le retour du propriétaire de la chaise, de préférence dans les lieux de débauche (tripots, bordels...). Ils emportaient toujours leurs bâtons avec eux pour ne pas se faire voler.

     

    Citation

    "Vous menez, mon gendre, une vie de bâtons de chaise." Alfred de Musset

     

     


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  • Le 2nd degré

     

    Pont du 1er mai

    - jour vaqué: lundi 30 avril 2012

    - nombre de 1/2 journées à rattraper 2

    - jour de récupératrion Les mercredi 2 mai 2012 et mercredi 9 mai 2012

     

     

    Pont de l'Ascension (jeudi 17 mai 2012)

    - jour vaqué: vendredi 18 mai 2012

    - nombre de 1/2 journées à rattraper 2

    - jour de récupération Les mercredi 16 mai 2012 et mercredi 30 mai 2012


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  • Le 1er degré : 

     

    Pont du 1er mai 2012

    - jour vaqué: lundi 30 avril 2012

    - nombre de 1/2 journées à rattraper 2

    - jour de récupération le mercredi 2 mai 2012

     

    Pont de l'ascension (jeudi 17 mai 2012)

    - jour vaqué: vendredi 18 avril 2012

    - nombre de 1/2 journées à rattraper 2

    - jour de récupération le mercredi 16 mai 2012


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  • Définitions

    Jouir de circonstances favorables qui ne dureront pas; traverser une période prospère.

     

     

    La couleur du pain

    Le pain peut se fabriquer à partir de nombreuses farines provenant de l'avoine, du maïs, de l'orge, du sarrasin ou même de pommes de terre, de châtaignes, de fèves ou de glands. Selon le choix de l'ingrédient de base, la couleur du pain est plus ou moins claire et son goût plus ou moins raffiné.

     

    Pas le même pain pour tous

    Au moyen Âge, les récoltes étant parfois peu abondantes, les populations des campagnes devaient souvent se contenter de peu et la farine de meilleure qualité était expédiée en ville pour y être affinée et vendue à un prix élevé. Seules quelques classes aisées pouvaient donc se permettre de manger le pain de froment blanchi, alors que les pauvres y ajoutaient d'autres ingrédients peu onéreux (châtaignes et glands).

    Lorsque quelqu'un avait le choix entre deux qualités de pain, il commençait par le pain blanc, laissant le pain noir pour plus tard.

     

    De l'importance du pain

    Déjà le poète satirique latin Juvénal (60-130) rappelait que tout ce que les citoyens romains exigeaient de leurs dirigeants était "du pain et des jeux".

    Sous l'ancien Régime, la disette frappa de nombreuses années de suite et la population en souffrit grandement. En 1775, la "guerre des farines" fut la conséquence des mesures de répression prises contre les voleurs de grains aux alentours de Paris.

    Au mois d'octobre 1789, le pain commençait à manquer dans les boulangeries parisiennes. Surexcitées par des meneurs, des milliers de femmes se dirigèrent vers le château de Versailles, accompagnées d'environ quinze mille hommes de la garde nationale. Pris d'assaut par la foule malgré la résistance des soldats du roi, dont plusieurs perdirent la vie en en défendant l'accès, Versailles fut investi et Marie-Antoinette eut à peine le temps de s'esquiver. Prisonniers, Louis XVI et sa famille furent conduits à Paris au refrain de la Carmagnole par une foule qui croyait que le fait de détenir le roi améliorerait sa ration de pain quotidienne. Toutes criaient : " Nous ne mourront plus de faim, nous avons le boulanger, la boulangère et le petit mitron."

     

    Autres expression avec le mot pain 

    - Ca ne mange pas de pain : cela n'a donc pas de conséquence fâcheuse

    - Ôter le pain de la bouche : retirer un moyen de subsistance.

    - Long comme un jour sans pain : fait référence à une épreuve douloureuse.

    - Faire passer le goût du pain : tuer quelqu'un.

    - C'est du pain béni : c'est quelque chose d'agréable, de profitable.

    - Ne pas manger de ce pain-là : refuser une offre, une proposition que l'on considère mauvaise ou malhonnête.

     


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  • Voici les dates :

    L’histoire-géographie, elle aura lieu le mardi 19 juin de 14h à 18h.

     

    Le français, elles auront lieu le mercredi 20 juin de 8h à 12h pour l’écrit, et 20mm pour l’oral à l’appréciation des établissements scolaires.

     

    Contenu de l’épreuve d’histoire géo : 

    1ère partie sur ≈10 points 1 exercice

    Aux choix histoire ou géographie, une composition comprenant une brève introduction, des paragraphes qui développent la démonstration et une brève conclusion. Temps conseillé pour cet exercice : 2heures.

    2ème partie sur ≈ 10 points 2 exercices

    Une analyse d’un ou deux documents en histoire, comprenant une brève introduction où est préciser l’intérêt du ou des documents, de paragraphe composé du contenu informatif des documents et des connaissances personnelle, enfin d’une brève conclusion d’une ou deux lignes. Temps conseillé : 1 heure

    Et une analyse d’un ou deux documents en géographie, même analyse que précédemment ou réalisation d’un croquis ou d’un schéma. Temps conseillé 1 heure.

     

    Contenu des épreuves de français :

    Un corpus de texte est donné aux élèves, la 1ère partie est constituée de questions qui sont sur 4 à 6 points.

    La 2ème partie est un travail écrit aux choix : Une dissertation, un commentaire composé ou un écrit d’invention.

    Enfin, l’oral dure 20 minutes, précédé de 30 minutes environs de préparation, 10mm sont consacrer à la réponse à la question que l’examinateur à poser sur un texte choisi, puis 10mm sont consacrés à un entretien interactif.


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