• Si vous souhaitez manifester, voici quelques renseignements utile.

     

    Dans le Tarn, Manifestation FSU SE Sgen.

    Départ à 14h devant L’Inspection Académique qui rejoindra la manifestation CGT territoriaux Place du Vigan.

    Assembler Général dans les établissements.

     

    En Haute-Garonne, Manifestation de 12h à 14h avec Convergence des différents secteurs Place du Capitole avec stands d’accueil et de débats, diffusion de tract, prises de paroles. 14h manifestation unitaire CGT-FSU-Solidaires. Départ Place du Capitole à Toulouse.


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    Transports scolaires lundi 11 janvier


    Selon Bison Futé, malgré l'amélioration des conditions de circulation, les transports scolaires restent interdits le 11 janvier dans les départements suivants : Ain, Cantal, Allier, Aveyron, Corrèze, Creuse, Dordogne, Haute-Garonne, Gers, Lot, Lot et Garonne, Tarn, Haute-Vienne.

    Dans le département de la Drôme les transports interurbains de voyageurs y compris les transports scolaires sont interdits. Seules les lignes inter-urbaines entre Valence /Romans et Valence/Montélimar sont autorisés dans les deux sens.

    En région parisienne, dans l'Essonne les transports scolaires sont interdits jusqu'à mardi 12 janvier 12h00. Dans les Yvelines ils sont interdits jusqu'à mardi 12 janvier 7h00.


    "D'autres départements sont susceptibles de prendre les mêmes décisions dans les heures à venir" dit Bison Futé.

    Renseignements disponibles auprès des Préfectures concernées.

     


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  • C’était à se demander, en effet : "Le ministère de l’Éducation nationale proposera début janvier, aux personnels des écoles et des établissements scolaires publics et privés sous contrat, quel que soit leur statut, de se faire vacciner contre le virus de la grippe A H1/N1".

    Alors que médecins et infirmières étaient réquisitionnés depuis des semaines pour vacciner les élèves dans les établissements scolaires (10% des élèves sont passés par le vaccin), le ministère annonce qu'ils reviendront "dans certains établissements scolaires" vacciner les profs dans le cadre d'une "nouvelle campagne de vaccination.

    Pourquoi ne pas avoir vacciné les enseignants en même temps que leurs élèves ? 

    Début janvier quelques établissements vont donc à nouveau vivre la mobilisation des locaux, du personnel médical, administratif, des photocopieuses, pour piquer une poignée de personnes.

    Mais puisque le vaccin va être reproposé aux élèves d’ici quelques semaines, (après les vacances pensent t’on), n’y a-t-il pas la une cause à effet ???


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  • Orientation :

    "Une meilleure orientation" voila ce que souhaite le ministère, ce qui passe par le choix en seconde de deux enseignements de spécialité d'1h30 hebdomadaire.

    Les programmes seront ajustés. Certaines disciplines (LV3, langues anciennes, EPS, arts du cirque) seront maintenues au format actuel. L'information des élèves sera améliorée grâce à l'accompagnement personnalisé. Des stages en entreprise pourront avoir lieu dans l'année scolaire. Enfin la réorientation en première sera possible grâce à un tronc commun d'enseignement (60% de l'horaire).

     

    Accompagnement spécialisé :

    Chaque élève disposera de deux heures hebdomadaires d'accompagnement personnalisé de la 2de à la Tale. Il comprendra de l'aide, du perfectionnement ou des travaux en autonomie (mais les TPE sont aussi maintenus en 1ère).

    Ce qui est nouveau c'est sa conception : l'équipe pédagogique définira un projet d'utilisation des 2 heures. En 2de et 1ère, l'accompagnement "est organisé de manière transversale". En terminale il est mis en œuvre dans les enseignements de spécialisation.

     

    Initiative et responsabilisation des élèves… et des profs :

    Nouvelle règle: les établissements disposeront d'un volume horaire pour répondre aux besoins des élèves. Ce volume sera pris sur les horaires de dédoublement (sauf ECJS) : les heures sont maintenues mais globalisées.  L'équipe pédagogique répartit ces heures pour constituer des groupes à effectifs réduits en fonction des besoins. Elle "arrête un projet d'utilisation" de ces heures et des 2 heures d'accompagnement personnalisé. Ce projet est soumis au conseil pédagogique et au C.A. "Le projet pédagogique arrêté pour l'utilisation de ces heures peut prévoir un cadre autre qu'hebdomadaire".

     

    Rééquilibrage des séries :

    Dans la voie générale, le tronc commun (français, langues vivantes, histoire-géo, ecjs, eps) permet de réunir les élèves de différentes séries, par exemple dans des groupes de compétences en langues.  "La découverte en classe de 2de de la voie technologique est favorisée".

     

    En S :

    Le niveau en sciences est renforcé, c'est ce qui explique que les maths ne font pas partie du tronc commun.

    Un enseignement de spécialité de deux heures d' "informatique et société du numérique" est créé. Les élèves peuvent aussi prendre comme enseignement de spécialité maths, SVT, physique-chimie.

     

     

    En ES, un nouveau programme d'histoire-géo :

    Va jusqu'à nos jours en 2de et 1ère. En terminale, c'est un enseignement hebdomadaire de 4 heures "plus orienté vers les méthodes et les outils" en vue du supérieur. 

    Cette disposition peut laisser entendre que l'épreuve au bac pourrait être anticipée à la fin de la 1ère. En terminale, les élèves choisiraient entre un enseignement d'1h30 de sciences économiques approfondies, de sciences sociales ou de maths appliquées.

     

    En L :

    Un enseignement de 3 heures sur les grands enjeux contemporains serait introduit, tout comme un enseignement de langues, d'arts ou de maths appliquées. L'histoire-géo évoluerait comme en série ES.

     

    "Les séries STI et STL :

    Sont rénovées dit le document. Mais c'est leur seule mention. Il ne dit pas comment évolue la filière STG.

     

    Les langues :

    Les horaires de LV1 et LV2 sont globalisés pour faciliter l'enseignement par groupes de compétences. La série L devient "série de l'excellence linguistique".  L'enseignement est "complété par une approche plus culturelle des langues avec un enseignement de littérature étrangère en langue étrangère". Possibilité d'apprendre 3 langues.

     

    Le soutien scolaire :

    Tout élève qui le souhaite peut bénéficier d'un tutorat, assuré par un enseignant volontaire (dont documentaliste et CPE). Des stages de remise à niveau peuvent être proposés par le conseil de classe durant l'année ou les vacances. Des stages passerelles aussi pour les élèves qui souhaitent changer de série. Ces stages de 2 semaines "ne sont pas imposés aux élèves".

     

    Vie lycéenne :

    Le texte ministériel annonce une refonte des textes relatifs à l'expression lycéenne et la relance de la formation des délégués. L'engagement des élèves sera encouragé et valorisé dans le dossier scolaire.


     infos données par le café pédagogique


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    Un bon constat pour aboutir à six mesures. Le président de la République a présenté ce matin de 11 à 12 heures la réforme des lycées qu'il compte mettre en place. Il maintient le calendrier. La réforme sera présentée aux parents, lycéens et enseignants dans les semaines à venir par le ministre. Les décisions définitives seront prises avant la fin de l'année. L'application aura lieu à la rentrée 2010.

     

    Le président a commencé par un constat sévère mais argumenté des difficultés des lycées. Il a mis en avant les inégalités sociales et les sorties sans qualification : 35 000 bacheliers quittant le lycée sans le bac chaque année, 80 000 bacheliers quittant le supérieur sans diplôme, deux fois moins de chance pour un enfant de milieu ouvrier d'accéder à l'enseignement supérieur, 5 fois moins pour une classe préparatoire. Puis le président à présenté une réforme en 6 points.

     

    Orientation : "une véritable révolution" annonce Nicolas Sarkozy.

    Deux principes : l'orientation doit être progressive et réversible.

    Pour cela le redoublement qui n'est "jamais une solution" doit devenir "l'exception". (Pourtant, je peux affirmer aujourd’hui, que si l’on ne m’avait pas fait passer de classe en classe avec 2 à 10 de moyenne en français et autres matière, j’en aurais été reconnaissante aux enseignants. Si cela devait être le cas d’un de mes fils, je le ferai redoubler) Pour que les élèves puissent passer en classe supérieure malgré un niveau insuffisant ou changer d'orientation, le ministère créera des stages de vacances. Il y aura des stages passerelle offrant le complément de programme pour changer de filière. Ils pourront aussi avoir lieu en cours d'année. Il y aura aussi des stages de remise à niveau permettant pour éviter le redoublement. Parallèlement, le ministère développera les plateformes multimédia d'information sur l'orientation.

     

    Tous les lycées devront développer des liens avec le supérieur et les entreprises. Chacun offrira une banque de stages en entreprises. Les services partagés d'enseignement entre supérieur et lycée seront encouragés ainsi que les stages d'enseignants en entreprise. "Comment orienter vers un monde qu'on ignore " demande N. Sarkozy ?

     

    Réforme de la voie technologique. Le président annonce une refonte des programmes STI. Plus généralement, il annonce des places réservées en BTS et en IUT pour les bacheliers technologiques et la multiplication des classes préparatoires aux écoles d'ingénieur.

     

    Il faut sauver la voie littéraire. N Sarkozy voit trois solutions :

    La création d'un nouvel enseignement de langues et civilisations étrangères propre à la série permettant une ouverture internationale; l'introduction de disciplines nouvelles comme le droit; la création d'un enseignement culturel et artistique ouvrant sur les métiers des loisirs.

     

    Accompagnement personnalisé pour les élèves. Pour N Sarkozy, il y a trop de cours (1036 heures annuelles en France contre 921 h dans le spays OCDE) et pas assez de plages de travail personnel. Dès la rentrée les élèves disposeront de deux heures d'accompagnement par semaine en seconde. Ce sera étendu en 1ère et Tale en 2011 et 2012.

    Sous l'autorité d'un enseignant, ils pourront bénéficier de soutien ou d'approfondissement ou encore travailler leur orientation. Cet accompagnement devra trouver place dans les horaires actuels "à moyens constants". (Les programmes seront t’il allégés ?) Une marge de manœuvre sera laissée aux établissements.

     

    Un plan d'urgence pour les langues. (Que nos enfants sachent parler le Français et l’écrire) N. Sarkozy annonce un nouveau plan pour les langues. Les épreuves du bac seront réformées pour laisser plus de place à l'oral. Pour cela l'Etat s'appuiera sur des assistants de langue et la visioconférence. Les élèves seront regroupés par groupe de niveau. Enfin chaque lycée devra passer un partenariat avec un établissement étranger et organiser des voyages à l'étranger pour tous les élèves. L'Etat compte sur les régions pour aider financièrement les enfants des familles défavorisées à financer ce voyage…

     

    L'histoire des arts introduite au lycée. (Parlons plutôt de l’histoire qui peut être passionnante) Un enseignement transversal d'histoire des arts sera introduit au lycée grâce à une réforme des programmes de français, histoire et sciences. Il sera évalué au bac.

    Chaque lycée devra avoir un partenariat avec un établissement culturel local. Il devra nommer un enseignant "référent culture". (Va-t-on continuer à supprimer des postes ?)

    Chaque lycée devra aussi avoir son ciné club avec une salle équipée pour la projection. Une plateforme développée par France Télévision mettra à disposition des établissements une banque de 200 classiques du film utilisables dans ce cadre. Les établissements seront encouragés à prévoir des retransmissions en direct de créations théâtrales ou d'opéras… (Qui va payer ?)

     

    Plus d'autonomie pour les lycéens. L'engagement associatif ou dans l'établissement des élèves sera reconnu dans le livret de compétences. Ce sera un "plus" pour l'accès à l'enseignement supérieur. L'âge légal de prise de responsabilité associative sera abaissé de 18 à 16 ans. Les élèves seront associés à la gestion de la cantine et des espaces des établissements. (Auront ‘il le temps en dehors des cours et des Devoirs s’il y en a encore ?)

     

    Du travail d'amateur !

    Ceux qui attendaient une véritable réforme du lycée resteront sur leur faim. Ceux-là même qui attendaient des avancées significatives sur au moins un des points noirs des lycées aussi tant il apparaît que les solutions proposées ont une efficacité nulle ou fortement réduite.

     

    La question du redoublement qui pourrit effectivement le système scolaire français du haut en bas, et qui n'est traitée ici que dans les années où elle est moins critiquable, peut difficilement trouver de solution dans un stage de remise à niveau durant un mois d'été. Ce que montrent justement les études sur le redoublement  que ce n'est pas en refaisant le programme qu'on règle les difficultés de l'élève.

    La solution réside plutôt dans un véritable travail d'accompagnement durant l'année scolaire.

     

    Les stages passerelles sont une idée mieux adaptée à condition d'être très vigilant sur le processus de réorientation lui-même de façon à le mettre au service du seul élève. A défaut on aura seulement donné un nouvel outil de tri dans les établissements et renforcé l'élitisme.

     

    Le rééquilibrage des filières qui est tenté en modifiant les contenus d'enseignement de la filière littéraire est un pari difficile puisque aucune évolution n'est prévue par ailleurs. Pourra-t-on rendre celle-ci plus attractive en améliorant le niveau de langues ou en développant une branche "loisirs" ? On évite au moins de cette façon une réflexion d'ensemble sur les enseignements de base à donner au lycée…

     

    L'accompagnement des élèves est déjà présent dans les lycées à travers les heures de module et d'aide individualisée à hauteur de 4 heures hebdomadaires. Comment ce nouvel accompagnement va-t-il se matérialiser ? Il est probable qu'il remplace ces deux dispositifs d'ailleurs souvent dévoyés. Sera-t-il suffisant pour réduire les inégalités scolaires ? Le président de la République a d'emblée en début de discours fermé la porte à tout aménagement des contenus d'enseignement et des pratiques pédagogiques. On reste donc dans la philosophie des béquilles pour élèves faibles tel que cela est pratiqué au primaire et au collège. L'efficacité de ces dispositifs reste à démontrer.

     

    Finalement, N Sarkozy n'aura retenu du rapport Descoings que les mesures les plus limitées. Les mesures proposées  permettent de mieux comprendre l'échec de la réforme, autrement audacieuse, que X Darcos avait proposé en 2008. Quoiqu'il en dise, c'est bien l'Elysée qui regimbe au changement et à la démocratisation scolaire. Les paillettes ne peuvent pas cacher le visage de la tradition.

     

    «Source : Café pédagogique »

    Mes réflexions sont en gras


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    Le Sénat a introduit dans la loi Grenelle II sur l'environnement, un article qui interdit l'usage du téléphone portable dans les écoles et collèges. " Le chapitre unique du titre Ier du livre V de la deuxième partie du code de l'éducation est complété par un article L. 511-5 ainsi rédigé : " Art. L. 511-5. - Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges, l'utilisation par un élève d'un téléphone portable est interdite".

     

    Ce nouvel article, adopté en commission, a été défendu par MC Blandin. 

    La commission a aussi accepté des articles réprimant la publicité auprès des jeunes.  

    Si ce texte devait être adopté définitivement, la possession d'un téléphone portable resterait légale. Par contre l'usage, même dans la cour de récréation, serait interdit.

     

    Je n’interroge ! Fallait t’il une loi pour que nos enfants n’amènent plus de portable en classe ?

    N’est t’il pas la responsabilité des parents de faire attention à leurs enfants et de faire en sorte qu’ils n’emmènent pas leurs portable en classe, de leurs inculquer un minimum de respects. Faut-il donner un portable à un enfant de maternelle ? Et oui, il y en a ! La maman peut ainsi avoir son bout de chou à tout moment, chercher l’erreur.

    Et  de toute façon, pourquoi leur donner un portable, alors que les établissements peuvent en cas de soucie appeler pour l’enfant.

    Mon fils n’a pas de portable et en cas de problème demande à la « vie scolaire » s’il peut téléphoner. Et il n’y a jamais de refus de leur part.


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  • La DP3 ? Découverte Professionnelle 3 Heures ?

    Devenue en peu de temps la deuxième option de 3ème avec 12% des élèves, la DP3 est créditée d'un véritable intérêt pédagogique.

    Conduite avec rigueur et intelligence, la DP3 peut  contribuer de façon déterminante à ce que l’institution tente de réussir depuis longtemps : une vraie mobilisation des jeunes autour d’activités pédagogiques propres à approfondir une connaissance authentique d’eux-mêmes et de leurs potentialités en relation avec les réalités du monde professionnel et ses exigences.

    Acquises à un moment charnière de la scolarité, de telles compétences seront décisives à l’heure où il leur faudra s’engager dans le choix éclairé d’une formation professionnelle. L’Inspection souhaite qu'elle soit prolongée en seconde.

    Pour autant l'Inspection dénonce le manque de pilotage à certains endroits, le refus du la DP3 dans des établissements de centre ville.

    Mon fils n’a pas eu ce problème puisque l’option est proposée dans son établissement scolaire.

    Malheureusement, il y a un manque d’information, sur le déroulement et sur le contenu des cours. Comment préparer les rencontres avec des personnes de métiers différents selon les élèves ? Où organiser les rencontres ? Faut-il ce déplacé ? Et comment, avec la classe ou seul avec les parents ?

    Pour le moment, notre préoccupation se n’ai pas que cette option porte telle ou telle nom. Mais comment faire pour que les élèves puissent travailler sur cette option en toute quiétude !


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  • En réuni le 11 juin, le Comité des droits de l'enfant de l'ONU a vivement critiqué le fichier national Base élèves.

     

    C'est une véritable condamnation qu'a prononcé le 11 juin le Comité des droits de l'enfant de l'ONU.

     La visite de Nadine Morano à Genève pour répondre aux questions du Comité n'a pu empêcher la publication de ce  cinglant rapport.

    En effet, le Comité apprécie le fait que l'Etat ait retiré les données sensibles inclues au départ.

    Mais, les objectifs de cette base de données et son utilité pour le système éducatif n’étant pas clairement définis, le Comité est préoccupé par l’utilisation de cette base de données à d’autres fins telles que la détection de la délinquance et des enfants migrants en situation irrégulière et par l’insuffisance de dispositions légales propres à prévenir son interconnexion avec les bases de données d’autres administrations

     

    Le comité exige deux mesures qui pourraient modifier profondément Base élèves.

    D'abord que les parents aient un droit de rectification et d'effacement du fichier. Ensuite il insiste sur la nécessité de sécuriser les accès au fichier.

     

    Dès sa publication, cet avis a fait le tour des enseignants qui refusent Base élèves depuis des années.

    Le Collectif national de résistance à Base élèves (CRBE) s'est dit "réconforté dans son combat contre le fichage des enfants"  à la lecture des observations finales du Comité des Droits de l’enfant de l’ONU.

    Certains de ses membres font l'objet de sanctions ou sont en passe de passer devant des commissions disciplinaires pour ne pas saisir le fichier.

    La décision de l'ONU affaiblit profondément ces procédures.

     

    Reste à savoir si cette Base élèves sera finalement modifier comme le préconise le Comité, a suivre donc attentivement et par les enseignants et  les parents.

     

    Merci à l’Expresso


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  • Le mouvement comptera bientôt 3 000 enseignants "désobéisseurs". Ils sont principalement situés dans le sud (Hérault, Bouches-du-Rhône), l'ouest (Loire-Atlantique, Charente, etc.), Midi-Pyrénées.

     

    Les "désobéisseurs" n'en démordent pas, ils ne veulent pas des nouveaux programmes du primaire et l'accompagnement scolaire.

    A Marseille, à Toulouse, à Montpellier, à Paris… les pressions de toute sorte contre les enseignants désobéisseurs s'intensifient et les sanctions financières à leur encontre ne cessent de pleuvoir. Aucun dialogue n’ai possible entre eux et les inspections académiques qui s'enferment dans la répression.

     

    Malgré tout, les enseignants n'abandonnent pas leurs convictions pour que vive l’école de la solidarité et de la réussite pour tous. Ils ont le soutien massif des parents d'élèves. Une caisse de solidarité nationale a même été mise en place pour les soutenir.

     

    Il est moins une pour que  le gouvernement programme la mort de l'école de la République voila en substance se qu’écrit le Mouvement des enseignants du primaire en résistance.

    Ils nous informent et nous demande de  participer  à une 3ème Journée de la désobéissance dans l'éducation.

     

    QUE DEMANDENT LES ENSEIGNANTS ?

     

    Les enseignants en résistance pédagogique appellent solennellement :

     

    - Les enseignants du primaire à amplifier et à radicaliser le mouvement de résistance au démantèlement de l'école publique, par la désobéissance pédagogique ciblée et affichée.

     

    - Les syndicats à reprendre à leur compte le mot d'ordre de la désobéissance civile pour faire échec aux lois qui déconstruisent le service public d'éducation.

     

    Les parents d'élèves à multiplier les initiatives de protestation et de blocage susceptibles de faire pression sur l'autorité hiérarchique qui reste sourde au dialogue.

     

    Les citoyens à exiger un grand débat national et des Etats généraux de l'éducation pour penser l'avenir de l'enseignement public, de la maternelle à l'université.

     

    Les élus à s'engager instamment à défendre l'intérêt du peuple, en sauvegardant le système éducatif français.

     
    A vous de juger

    lire "l'expresso"


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